Deux Maisons, Haringey, London

  • MOA : Solidspace
  • surface : 330 m²
  • statut : livré

Stroud Green est une banlieue verdoyante du nord de Londres remplies de rues du 18 et 19ème siècles imprégnées de l’esprit de l’architecture Arts and Crafts. Cette paire de maisons en rangée occupe un site contraignant à l’intersection de trois routes, et au long du “Parkland Walk”, un parc linéaire surélevé qui suit une ligne ferroviaire désaffectée. Les maisons établissent des liens avec leur environnement afin d’aborder leur emplacement d’angle public avec robustesse et décorum et de définir un domaine public plus urbain. Le bâtiment s’avance jusqu’à la ligne de la rue en trois élévations évasées et une double arche conjointe pour chaque habitation s’élève au-dessus d’un escalier en béton – ou “perron” – pour devenir un grand portail d’accès au monde domestique.

Nés à la fois du pragmatisme et de l’invention, ces espaces offrent la possibilité d’être à la fois dans la rue et à l’écart de celle-ci, célébrant la théâtralité des activités quotidiennes tout en maximisant la flexibilité d’accès et d’utilisation. Les intérieurs s’organisent autour d’une disposition spatiale de pièces ouvertes sur deux niveaux. Les fonctions sociales occupent les étages inférieurs, tandis que le salon principal s’élève au-dessus de la rue, au niveau du perron. Ces trois espaces jouissent de relations visuelles diagonales à travers un espace de double hauteur. De là, un escalier en sapin serpente à travers la maison, établissant des connexions à mi-niveau entre les étages. Cette disposition interne est révélée par une composition échelonnée de fenêtres sur les façades, qui encadrent aussi soigneusement la vie de la ville au-delà.

  • Deux Maisons, Haringey, London

    • MOA : Solidspace
    • surface : 330 m²
    • statut : livré

    Stroud Green est une banlieue verdoyante du nord de Londres remplies de rues du 18 et 19ème siècles imprégnées de l’esprit de l’architecture Arts and Crafts. Cette paire de maisons en rangée occupe un site contraignant à l’intersection de trois routes, et au long du “Parkland Walk”, un parc linéaire surélevé qui suit une ligne ferroviaire désaffectée. Les maisons établissent des liens avec leur environnement afin d’aborder leur emplacement d’angle public avec robustesse et décorum et de définir un domaine public plus urbain. Le bâtiment s’avance jusqu’à la ligne de la rue en trois élévations évasées et une double arche conjointe pour chaque habitation s’élève au-dessus d’un escalier en béton – ou “perron” – pour devenir un grand portail d’accès au monde domestique.

    Nés à la fois du pragmatisme et de l’invention, ces espaces offrent la possibilité d’être à la fois dans la rue et à l’écart de celle-ci, célébrant la théâtralité des activités quotidiennes tout en maximisant la flexibilité d’accès et d’utilisation. Les intérieurs s’organisent autour d’une disposition spatiale de pièces ouvertes sur deux niveaux. Les fonctions sociales occupent les étages inférieurs, tandis que le salon principal s’élève au-dessus de la rue, au niveau du perron. Ces trois espaces jouissent de relations visuelles diagonales à travers un espace de double hauteur. De là, un escalier en sapin serpente à travers la maison, établissant des connexions à mi-niveau entre les étages. Cette disposition interne est révélée par une composition échelonnée de fenêtres sur les façades, qui encadrent aussi soigneusement la vie de la ville au-delà.